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WEEKEND A PARIS #1
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C’était un weekend d’hiver, à l’aube de la nouvelle décennie.
Quatre jours sur Paris, emmitouflé.es dans nos manteaux. Nous vous racontons notre journée dans la capitale.
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DÉJEUNER CHEZ KEÏLI
Dans le 11ème, à la station Filles du Calvaire, on (re)découvre une petite enseigne au style coffee shop du nom de KEÏLI. Nous y avons déjà fait escale par simple curiosité. Séduits par son Curry végétarien, nous voulions y retourner. Sa sauce chaude et généreuse réchauffe, on retrouve la légère acidité des pickles d'oignon, la douceur sucrée des patates douces et butternut et son oeuf coulant clôt le plat, juste pour la gourmandise !
Un lieu, tenu par Caleigh et François, passionné.es par la food généreuse et healthy. Une adresse charmante pour y prendre son café à emporter, un goûter ou un déjeuner bien mérité.

APRES-MIDI A LA MEP
L’après-midi est fraîche et ensoleillée à Paris, et nous avons choisi de nous terrer à la Maison Européenne de la Photographie, dans le marais. Un site culturel promouvant différents photographes tout au long de l’année. Nous y sommes allés plusieurs fois dans l’année, et n’avons jamais été déçu.es par les découvertes que nous y avons fait, ainsi que la scénographie choisie pour chaque exposition.
Cette fois ci, l’artiste allemande Ursula Schulz-Dornburg était à l’honneur.
“Depuis plus de cinquante ans, Ursula Schulz-Dornburg explore, à travers son travail, la relation entre l’environnement bâti et le paysage. Souvent attirée par les théâtres de conflits sociaux, politiques et culturels, ou des régions qui revêtent une importance historique, elle met en lumière la façon dont le pouvoir, les conflits, le temps et le déclin perturbent le paysage et le transforment, le marquant pour les décennies à venir.” Shoair Mavlian / Commissaire de l’exposition à la MEP.
Des oeuvres parfaitement maîtrisées : de l’angle de vue choisie au message que transmettent les photographies.

Au dernier étage du musée se trouve l’exposition « Amazônia » de Tommaso Protti, lauréat du 10e Prix Carmignac du Photojournalisme, consacré à l’Amazonie et aux enjeux liés à sa déforestation.
“Entre janvier et juillet 2019, le photojournaliste italien Tommaso Protti, accompagné du journaliste britannique Sam Cowie, a parcouru des milliers de kilomètres à travers l’Amazonie brésilienne pour réaliser ce reportage. Depuis la région de Maranhão à l’est, à celle de Rondônia à l’ouest, en passant par les États du Pará et de l’Amazonas, ils dressent le portrait de l’Amazonie brésilienne contemporaine, où les crises sociales et humanitaires se superposent à la destruction inexorable de la forêt vierge, poumon de la planète.”
Des photos crues et vraies, teintées de noir et blanc. Une réalité brute reflétant les différentes problématiques auxquelles font face les brésilien.nes. De la déforestation et ses sources, aux violences faites aux populations présentes en Amazonie, en passant par le trafic de drogue et ses répercussions sur la population, tout y est conté en image par l‘artiste.

Pour terminer cette journée à Paris, nous sommes allés au Forum des Halles pour admirer les lumières du coucher de soleil sur l'Église Saint Eustache et son quartier. Sous l’arche de la Canopée, nous couronnons cette journée face aux dégradés qu’offre le crépuscule parisien.
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